Ce matin le Collectif Environnemental Basse-Marche s'était invité au siège du Syded dans les locaux du Conseil Départemental afin d'aller interpeller les élus du Syded sur les "motivations" et convictions les ayant amené à voter le projet (en l'état) de transfert des "résidus" Wattellez du Palais ..................vers le Bois du Roy à Bellac? Nous n'avons pas été déçu du résultat: certes si les échanges ont revêtu une tonalité un peu vive parfois, ils n'ont en rien empêché un certain dialogue pour les élus du Syded et de son responsable qui eux n' ont pas daigné quitter la salle quasiment dès le début des échanges ( préméditation??) , à la surprise générale et dans l'incompréhension la plus totale ( y compris pour leurs collègues du Syded, qui avaient choisi de rester et d'écouter) contrairement à quelques de leurs collègues à qui quelques questions légitimes venaient d'êtres posées:
Était-ce une stratégie de contourner le problème? de se défausser ? ou tout simplement de reconnaître certaines carences d'ordres administratives ou juridiques les ayant conduit à approuver ce projet sans en connaître tous les tenants et les aboutissants avec le ressenti sans doute d'une remise en cause de leur autorité comme de leurs compétences?
Les échanges qui ont suivi ce "non-évènement" ont tout de même étaient instructifs en tant que révélateurs des insuffisances d'informations tant auprès des élus que des citoyennes/citoyens, le manque de profondeur d'un dossier important et le réalisme procédures " d'urgences" déployées à la hâte alors que démonstration a été faite que l' État comme les pouvoirs publics avaient failli à leurs obligations depuis plus d'une trentaine d'années et que cet épineux problème ne devait pas se régler précipitamment, ni sans le consentement légitime des populations concernées: comme il a été expliqué passionnément sans doute auprès d'un élu su Sud-Ouest Haute vienne, les élus n'ont pas vocation à tout connaître certes , mais ils faut aussi qu'ils remettent parfois en question "le système" ( y compris parfois envers les institutions ou administrations qui les régissent) : On peut voter "pour" suivant ses convictions, on peut voter contre suivant sa conviction intime, mais on peut tout aussi s'abstenir lorsque l'on juge que l'on a pas tous les éléments en main pour apporter une réponse "objective": ça s'appelle le Principe de précaution"..............Ce qui a pu ressortir de cette riche rencontre , c'est bien le fait que la plupart des élus du Syded n'avaient pas tous les éléments à leurs disposition pour juger en leur "âme et confiance", qu'une certaine "discrétion" (refus de fournir le dossier!) entoure ces choix et que les associations comme les population aient pu avoir plus que le sentiment de ne pas êtres suffisamment associées dans les débats et diverses réunions! Ce débat sort du seul cadre "politique" est concerne bien la citoyenneté , comme l'avancée du débat démocratique ! Jipé
* un cortège a déambulé dans la matinée à travers quelques rues de Limoges, les conduisant jusqu'aux portes de la préfecture , afin que soit remis à Monsieur le Préfet des recours auprès du tribunal administratif: réponse de monsieur le préfet en guise de dialogue constructif et démocratique..................on ferme les grilles ! circulez..
Était-ce une stratégie de contourner le problème? de se défausser ? ou tout simplement de reconnaître certaines carences d'ordres administratives ou juridiques les ayant conduit à approuver ce projet sans en connaître tous les tenants et les aboutissants avec le ressenti sans doute d'une remise en cause de leur autorité comme de leurs compétences?
Les échanges qui ont suivi ce "non-évènement" ont tout de même étaient instructifs en tant que révélateurs des insuffisances d'informations tant auprès des élus que des citoyennes/citoyens, le manque de profondeur d'un dossier important et le réalisme procédures " d'urgences" déployées à la hâte alors que démonstration a été faite que l' État comme les pouvoirs publics avaient failli à leurs obligations depuis plus d'une trentaine d'années et que cet épineux problème ne devait pas se régler précipitamment, ni sans le consentement légitime des populations concernées: comme il a été expliqué passionnément sans doute auprès d'un élu su Sud-Ouest Haute vienne, les élus n'ont pas vocation à tout connaître certes , mais ils faut aussi qu'ils remettent parfois en question "le système" ( y compris parfois envers les institutions ou administrations qui les régissent) : On peut voter "pour" suivant ses convictions, on peut voter contre suivant sa conviction intime, mais on peut tout aussi s'abstenir lorsque l'on juge que l'on a pas tous les éléments en main pour apporter une réponse "objective": ça s'appelle le Principe de précaution"..............Ce qui a pu ressortir de cette riche rencontre , c'est bien le fait que la plupart des élus du Syded n'avaient pas tous les éléments à leurs disposition pour juger en leur "âme et confiance", qu'une certaine "discrétion" (refus de fournir le dossier!) entoure ces choix et que les associations comme les population aient pu avoir plus que le sentiment de ne pas êtres suffisamment associées dans les débats et diverses réunions! Ce débat sort du seul cadre "politique" est concerne bien la citoyenneté , comme l'avancée du débat démocratique ! Jipé
* un cortège a déambulé dans la matinée à travers quelques rues de Limoges, les conduisant jusqu'aux portes de la préfecture , afin que soit remis à Monsieur le Préfet des recours auprès du tribunal administratif: réponse de monsieur le préfet en guise de dialogue constructif et démocratique..................on ferme les grilles ! circulez..